formation d'origine. croisés aux studios rp, à nanterre. plusieurs concerts ensuite ensemble. certains sont devenus des amis, d'autres pas.
quelques uns de la bande y joueront plus tard.

entamée sur un malentendu à la limite de l'empoignade, cette rencontre aboutira sur des hectolitres de bières, de fléchettes, et une scène commune, dont une impro de fin de concert ensemble (+ t.pal crew)

(zine "New Wave")
rencontrée par philippe après un set au Blues du Nord (paris),
elle nous proposa un projet de disque.
mais la vie du groupe, fragile, en décida autrement...

notre repaire, où tout a vécu et où tout s'est arrêté.
lookeed, les frelons, bitok et les poiloks, et tous les autres...
les répètes chant-batterie dans le noir, d'autres de 2 jours, certaines de 3 mn, jets de bouteilles de jd, de pigeons morts, d'amour aussi.
on organisa les concerts à l'étage pendant 8 ans, accueillant nuclear device, treponem pal (encore?), carayos, hurleurs, louise truc, toute la scène ska de l'époque, et des dizaines d'autres.
sweet years in our minds...

club mythique de merde (accueil pourri, patrons véreux, videurs mafieux...), on ira pourtant y jouer 7 fois.
on y aura tout vécu: public foireux, public dément, placage d'un organisateur dans le vestiaire ("elle est où la thune?"), envie de tuer l'ingé son local, baston sur scène, baises sauvages ailleurs, marco interdit d'entrer ("j'te dis que c'est un des musiciens!"), clash attitude, crash certitude, peine et joie...

le bastion nanterrien de la punkitude dégénérée de l'époque.
la fine fleur y passera répéter (requiem, komintern sect, ultraviolet, +++, stralher, etc...).
un des meilleurs ingé-son jamais croisé: jacques "bassfréquences". R.I.P.

cuistot rock 'n roll du piano-vache à la grande époque.
de grandes et longues nuits chez lui, alcool, tarots et luxure...
aujourd'hui il cuisine chez lui, au blackdog (paris).